Mettre de l’âme dans sa communication personnelle
- Nadia Gendre
- 31 mai 2024
- 4 min de lecture
Dernière mise à jour : 9 juin 2024

Ça peut faire sourire. Et pourtant, si on mettait un peu plus d’âme dans notre communication personnelle, le monde du travail ne s’en porterait que mieux et pourrait ainsi s’ouvrir à de nouvelles perspectives, que ce soit en matière de bien-être et/ou de performance.
Aujourd’hui les employés, les clients, (les enfants aussi d’ailleurs) ne suivent pas quelqu’un qui SAIT. Ils nous respectent, nous font confiance parce que l’on EST ce que nous disons. Parce qu’on incarne le sens, la direction et nos messages. Mettre de l’âme dans sa communication devient une compétence indispensable pour travailler en résonance avec son équipe et grandir ensemble. Cette aptitude crée de la confiance, du sens, de la solidarité et du respect. Elle reste toujours bienveillante – même dans les situations difficiles - car elle permet de saisir dans l’espace et l’instant ce qui est juste pour soi et les autres. Or, c’est vrai. En entreprise, mettre de l’âme dans sa communication n’est pas facile ! Mais pas impossible non plus. Alors commençons avec de petits pas… Mettre de la conscience sur sa communication Une première étape consiste à approfondir sa conscience de soi. Voici donc deux précieuses réflexions, transmises par Céline Boura, la Terre le Ciel et Nous, dans une de ses formations. D’où est-ce que cela part en moi lorsque je m’exprime ? De ma tête, de mon cœur? Cette question vaut pour toute action de communication : discours, présentation, courriel, concept, séance, vidéo, etc. ! Cette réflexion modifie grandement le résultat obtenu car, mes pensées, mon intention, mes mots constituent le matériau avec lequel je bâtis ma communication. Quelles sont les sources médiatiques avec lesquelles je m’abreuve au quotidien? Avec quoi, quels médias, quels contenus, quelles actualités, je nourris mon esprit et mon cœur ? La réponse à cette question est importante car cette « nourriture » impacte ma vibration intérieure. Plus concrètement, une consommation élevée de concepts insipides, d’informations morbides, tristes, négatives, anxiogènes auront méchamment tendance à contaminer mon état intérieur et à influencer négativement ma posture de communicant.e.